Vi segnaliamo la conferenza internazionale dedicata a Edward, che si terrà lunedì 15 aprile a Utrecht con un ricchissimo programma, fitto di interventi di ospiti prestigiose/i per quanto riguarda l'ambito degli studi di genere e postcoloniali, da Lila Abu-Lughod a Judith Butler, da Gayatri Spivak a Jamila M.H Mascat! Assolutamente da non perdere per chi può ...
Visualizzazione post con etichetta Edward Said. Mostra tutti i post
Visualizzazione post con etichetta Edward Said. Mostra tutti i post
sabato 13 aprile 2013
venerdì 15 marzo 2013
Orientalismi italiani / Una recensione
Nell'ultimo numero di Zapruder. Rivista di storia della conflittualità sociale, dal titolo Primavere rumorose, a cura di Marco Armiero, Stefania Barca e Andrea Tappi, è stata pubblicata la mia recensione al primo volume, curato da Gabriele Proglio, del progetto Orientalismi italiani, di cui nel frattempo è stato pubblicato il secondo volume ed è in preparazione il terzo. Buona lettura // "Orientalismi italiani / 1 è il primo risultato di un progetto più vasto – di cui è imminente la pubblicazione di un altro volume alla quale seguirà presto un terzo – avviato più di un anno fa, con l'intento di far emergere le specifiche "geografie immaginarie" sul cosiddetto Oriente così come si configurano nelle narrazioni di molteplici soggetti italiani/e: viaggiatori e viaggiatrici, missionari, avventurieri, esploratori, militari, mercanti o anarchiche come la milanese Leda Rafanelli, figura al centro del saggio di Barbara Spackman. Se infatti, come scrive Proglio nell'introduzione, le ricerche sulla costruzione dell'immaginario europeo e dell'oriente si sono moltiplicate dal 1978, anno di uscita di Orientalism di Edward Said, ancora poco indagate risultano le fonti italiane, un aspetto che è indubbiamente indicativo della tardiva ricezione di questo filone di studi nel nostro paese dove, del resto, lo stesso volume di Said è stato tradotto e pubblicato, con un significativo ritardo, solo nel 1991. Il progetto si pone dunque l'obiettivo ambizioso di cominciare a colmare questo vuoto ma anche di superare alcuni punti di criticità dell'impianto saidiano, evitando sia di assumere il discorso "orientalista" come «statico, uniforme e semplicemente ripetitivo» (p. 10) che le trappole costituite da una lettura che, insistendo sulla ricerca di omogeneità, rischia continuamente di non mettere a fuoco «il nesso tra spazi ipotizzati e realmente occupati, i 'nostri' tanto quanto i 'loro'» (p.11). A partire dalla scelta del plurale del titolo, così come in quella di non porre confini sia temporali che geografici – si va ad esempio dal Seicento, con il saggio di Margherita Trento sull'opera di evangelizzazione dei gesuiti in India nel primi anni del XVII secolo, al periodo del dopoguerra con gli stereotipi presenti negli scritti di reduci del 'fronte orientale' russo-sovietico indagati da Simone Attilio Bellezza –, questo primo volume offre una panoramica non scontata delle diverse forme che il discorso "orientalista" ha assunto nel contesto italiano anche attraverso l'utilizzo – di fianco a tematiche "classiche" come quella del viaggio (come nel saggio di Francesco Surdich sul viaggio compiuto da Monsignor Bonomia Bonomelli alla fine dell'Ottocento o in quello di Anna Calia sui viaggiatori veneziani tra fine del quindicesimo e inizi del sedicesimo secolo o il saggio di Paolo Orvieto sull'"altro orientale") – di tematiche o contesti meno usuali, ad esempio la musica (al centro del saggio di Stefano A.E. Leoni), i giochi da tavolo italiani tra fine Ottocento e metà del Novecento presi in esame da Marta Villa o le reazioni al cibo locale di viaggiatori e residenti italiani in India tra 1860 e 1930 indagate da Antonella Viola. Contemporaneamente il volume esplicita chiaramente la necessità di cogliere le continuità e le discontinuità tra passato e presente delle diverse e articolate rappresentazioni stereotipe dell''oriente' anche coloniale – come l'Etiopia tratteggiata da Marco Demichelis o la Libia nel saggio di Luigi Benevelli –, mettendo in luce le trasformazioni di cui sono oggetto e le forme che assumono nell'attualità, questione che emerge con chiarezza in alcune riflessioni presenti nell'intervista di Simone Brione alla scrittrice Shirin Ramzanali Fazel, autrice di Lontano da Mogadiscio (1994), uno dei primi romanzi italiani della letteratura detta "di migrazione" (Vincenza Perilli, in Zapruder, n. 31, 2013)
martedì 13 marzo 2012
Per un femminismo senza orientalismo / Pour un féminisme sans orientalisme
"En 1978, l'écrivain palestinien Edward Said développait aux Etats-Unis une analyse critique de l'orientalisme qui demeure d'actualité : en renvoyant l'Orient dans une altérité radicale, cette représentation savante a fonctionné dans l'Europe colonisatrice comme une opération de pouvoir d'autant plus efficace qu'elle se niait comme telle. Hier comme aujourd'hui, l'orientalisme renvoie en miroir l'image d'un "occidentalisme" : c'est un même culturalisme qui dessine les figures inversées, mais pareillement imaginaires, de l'Orient et de l'Occident. Depuis la fin de la guerre froide, comme au temps des colonies, l'orientalisme connaît de beaux jours. La rhétorique du "conflit des civilisations", dont l'intellectuel américain Samuel Huntington s'est fait le héraut en 1993, inspire aujourd'hui notre ministre de l'intérieur : selon Claude Guéant, "toutes les civilisations ne se valent pas". Depuis le 11-Septembre, on parle même d'un "conflit sexuel des civilisations" : contre l'islam en particulier, on a découvert les vertus de l'égalité entre les sexes pour mieux stigmatiser l'immigration. Ainsi, avant de se convertir tout récemment, à l'occasion de la controverse sur l'abattage halal, à la défense des droits des animaux, nos gouvernants invoquaient déjà les droits des femmes : au contraire d'"eux", "nous" traiterions bien les femmes. Pendant la campagne présidentielle de 2007, c'est en ces termes que Nicolas Sarkozy justifiait la création d'un ministère de l'immigration et de l'identité nationale : il définissait celle-ci, par contraste avec celle-là, en termes "républicains" : chez nous, "les femmes sont libres". Autrement dit, "chez eux", elles ne sauraient l'être : polygamie, mariages forcés, viol ou virginité imposée, hijab voire niqab, tel serait l'ordinaire, forcément sexiste, des "autres". D'un côté, la démocratie choisie ; de l'autre, l'oppression subie. Or, cette rhétorique s'applique à l'intérieur ou à l'extérieur de nos frontières - au Maghreb ou dans les banlieues : la sollicitude affichée pour les femmes justifie le rejet du garçon arabe comme de l'islamiste barbu. C'est ainsi qu'en Europe le supposé "conflit sexuel des civilisations" a paré la xénophobie et le racisme des atours de la démocratie sexuelle.Les révolutions arabes sont venues bousculer cette vision du monde. D'un seul coup, on s'est interrogé : la démocratie n'était-elle pas du côté des peuples qui se soulevaient contre la dictature, plutôt que des gouvernements européens qui sous-traitaient au dictateur libyen la gestion des immigrés pour ne pas s'embarrasser des droits de l'homme, ou qui proposaient aux dirigeants algériens et tunisiens, pour résister à la pression d'une rue assoiffée de liberté, "le savoir-faire, reconnu dans le monde entier, de nos forces de sécurité" ? Deux réactions se dessinent depuis lors, qui visent à préserver, nonobstant l'actualité, le partage rhétorique entre "eux" et "nous". La première consiste à renoncer à s'encombrer de démocratie sexuelle : d'un seul coup, les droits des femmes paraissent moins urgents. C'est bien dans le contexte du "printemps arabe" qu'on peut comprendre l'humeur du chef de l'Etat français s'interrogeant, le 8 mars 2011, sur l'utilité de ce qu'il appelait "la Journée de la femme" : "C'est sympathique, il faut le faire, enfin parfois il faudrait qu'on se concentre sur l'essentiel." Et d'insister : "Il y aurait beaucoup à dire parce que ça voudrait dire que les autres, c'est des journées des hommes alors ? Très curieux quand même comme système. Franchement." Ce n'est donc pas un hasard si, à la rentrée 2011, la Droite populaire emboîte le pas à Christine Boutin, présidente du Parti chrétien-démocrate, pour dénoncer l'introduction du "genre" dans des manuels de sciences et vie de la Terre : contre Simone de Beauvoir, il s'agit, pour ces conservateurs, de réhabiliter l'idée qu'on naît femme, plutôt qu'on ne le devient. S'il n'est pas surprenant que l'aile la plus réactionnaire de la majorité gouvernementale s'engage dans une telle croisade, il est plus remarquable qu'elle obtienne le soutien de ses dirigeants. Tout se passe comme si l'on revenait alors aux années 1990 : contre le "féminisme à l'américaine", accusé de dénaturaliser la différence des sexes en parlant de gender, il faudrait refonder en nature l'ordre sexuel. Après les révolutions arabes, le "conflit sexuel des civilisations" appartiendrait-il au passé ? A côté de cette droite désorientée, une autre réaction se fait entendre, qui s'emploie à préserver le lien entre féminisme et orientalisme : loin de renouer avec les valeurs chrétiennes, il revendique un combat pour la laïcité fondant l'Occident sur l'héritage des Lumières. Et de s'inquiéter de l'islamisme, qui menacerait la liberté des femmes après les révolutions davantage encore que sous les dictatures. L'illusion démocratique serait dissipée dans le monde arabe par l'échec de la démocratie sexuelle : la libération des peuples s'avérerait une simple ruse de la domination masculine. Le féminisme est ainsi confronté à un dilemme. Sans doute ne risque-t-il pas d'être attiré par la Droite populaire, peu suspecte d'engagement dans la lutte contre le sexisme. Cependant, certaines féministes ne peuvent-elles être tentées, à l'instar d'Elisabeth Badinter, de juger qu'"en dehors de Marine Le Pen, plus personne ne défend la laïcité" ? Mais à l'inverse, refuser toute compromission avec la xénophobie et le racisme condamne-t-il à nier les menaces qui pèsent encore sur les droits des femmes dans le monde arabe ? Il convient de récuser une telle alternative. Pour écarter toute instrumentalisation au service de la politique d'identité nationale, il suffit de rappeler que les menaces contre les femmes ne définissent pas une civilisation plutôt qu'une autre ; elles traversent toutes les sociétés. Sans doute le conservatisme des islamistes n'est-il guère rassurant ; mais le conservatisme sexuel est bien présent en France aussi, à l'heure ou le Front national veut cesser de rembourser les "avortements de confort", tandis que Nora Berra, secrétaire d'Etat à la santé, s'oppose à la gratuité et à l'anonymat de la contraception pour les mineures. Autrement dit, au Maghreb comme en France, il s'agit de politique, et non de culture. Contre le culturalisme du "conflit des civilisations", il faut miser sur un féminisme sans orientalisme. Face à la droite désorientée, c'est le moment de désorientaliser le féminisme" (Eric Fassin, Le Monde, 10 marzo 2012).
Etichette:
donne migranti,
donne musulmane,
Edward Said,
femminismi,
orientalismo,
politiche razziali e sessuali,
razzismo,
sessismo e razzismo,
Simone de Beauvoir
lunedì 20 febbraio 2012
Orientalismi italiani / 1
Finalmente in libreria il primo volume del progetto Orientalismi italiani, di cui qualche mese fa avevamo pubblicato il cfp. A cura di Gabriele Proglio e pubblicato dalla casa editrice Antares, Orientalismi italiani 1 raccoglie diversi interventi di studiosi e studiose (Francesco Surdich, Margherita Trento, Simone Attilio Bellezza, Barbara Spackman, Marco Demichelis, Marta Villa, Luigi Benevelli, Stefano A. E. Leoni, Anna Calia, Paolo Orvieto, Simone Brioni, Antonella Viola) che, con i loro saggi, offrono uno sfaccettato quadro d'insieme attraverso il quale riconsiderare, come scrive Gabriele Proglio nell'introduzione, le rappresentazioni, gli immaginari, i tempi e gli spazi delle forme italiane assunte dall'orientalismo, senza porre confini disciplinari o teorici, ma provando a scorgere le continuità-discontinuità di narrazioni tra passato e presente, adottando un approccio tanto sincronico quanto diacronico. Attraverso la disamina di come viaggiatori, missionari, avventurieri, esploratori, militari e mercanti - o anche donne, come l'anarchica Leda Rafanelli -, raccontarono l’Oriente (e per gli argomenti trattati rinviamo all' indice del volume), questo libro parla anche di 'italiani' ante-litteram, non solo nel senso della formazione dell'unità nazionale - questione quanto mai d'attualità viste le recenti celebrazioni dei centocinquant'anni dell'unità d'Italia -, ma anche di processi che, nati ben prima del 1861, furono ereditati e riutilizzati nella formazione dell'immaginario soggettivo e intersoggettivo sugli/sulle "altri/e".
martedì 10 gennaio 2012
Sotto il velo dei media. Semiotica dell’hijab tra Oriente e Occidente
Segnaliamo l'uscita del venticinquesimo Quaderno di Donne e Ricerca, Sotto il velo dei media. Semiotica dell’hijab tra Oriente e Occidente di Simona Stano. Con una prefazione di Massimo Leone, il Quaderno - dopo una contestualizzazione storico-politica dell'argomento trattato - offre un'interessante rilettura delle retoriche dell'alterità (A. Rivera, 2005) messe in campo dai media a proposito del cosiddetto "velo islamico", con una puntuale ricerca su alcune testate giornalistiche (quali l'inserto settimanale di Repubblica D La Repubblica delle donne e la rivista di moda Vogue Italia), dalla quale emerge come le rappresentazioni della "dona velata" che queste riviste offrono sono per la maggior parte costruite intornoal velo come sofferenza e sottomissione. Sotto il velo dei media. Semiotica dell’hijab tra Oriente e Occidente è consultabile sul sito web del CIRSDe e sulla piattaforma AperTo.
(Alcuni) articoli correlati in Marginalia:
In nome del burqa: cronache di ordinario razzismo e sessismo
Ma sottomessa a chi?
Avvistato burqa, Ufo postcoloniale?
Daniela Santanché e le nuove cerimonie di svelamento
Burqa Laptop
Veli svelati. Soggettività del velo islamico
Il burqa e le pseudo-femministe
venerdì 15 luglio 2011
Citizenship after Orientalism / Call for Papers
The Oecumene project is pleased to announce its first Symposium Citizenship after Orientalism (6-11 February 2012, The Open University, Milton Keynes - UK).The Symposium will include: A Conference ‘Opening the Boundaries of Citizenship’, CFP now open (deadline 12 Sept 2011); An International PhD School ‘Tracing Colonialism and Orientalism in Social and Political Thought’, we are receiving applications until 12 Sept 2011;A series of workshops addressing specific topics on critical new ways of conceptualising citizenship (mainly by invitation, although there are some places available).Keynote speakers: Judith Butler (University of California, Berkeley), Paul Gilroy (LSE), Bryan Turner (CUNY), Engin Isin (The Open University). PhD School Conveners: Ian Almond (Georgia State University), Roberto Dainotto (Duke University).The first Symposium will explore what it means to open up the boundaries of citizenship. How can we give an account of other ways of being political? Which political practices have been rendered inarticulable as political by exclusionary ideas of citizenship? These questions seem most relevant today, in light of the contemporary re-articulation of orientalist and colonial projects, the increasing popular discontent towarhttp://www.blogger.com/img/blank.gifds renewed exclusionary logics, and the contested meanings of democratic politics across boundaries. The call for papers and applications are now open. For further details please visit our website: www.oecumene.eu
giovedì 19 maggio 2011
Orientalismi italiani
Vi segnaliamo il call for paper per una nuova pubblicazione, a cura di Gabriele Proglio, Orientalismi italiani. Le ricerche sulla costruzione dell’immaginario europeo dell’Oriente si sono moltiplicate dal 1978, anno di uscita di Orientalism di Edward Said. La traduzione italiana fu data alle stampe dai tipi di Bollati Boringhieri solo nel 1991: un ritardo importante che, probabilmente, è indicativo della mancata recezione di questo tipo di studi. Molti studiosi dopo il lavoro di Said posero attenzione alle geografie immaginarie o, per riprendere una felice definizione di Vico, al “mondo delle narrazioni”. Ciononostante ci pare che le fonti in questo ambito di ricerca siano ancora poco indagate. Come fu raccontato l’Oriente? Quale la relazione tra narratore e narrazione orientalista? Quali i progetti sottesi a questi testi? L’intento di questo volume è di raccogliere contributi sugli orientalismi italiani, cioè su come viaggiatori, missionari, avventurieri, esploratori, militari e mercanti raccontarono l’Oriente. In quale epoca? In epoca moderna e contemporanea. La pubblicazione è però aperta a scritti che si riferiscano ad epoche precedenti: l’intento è di non porre dei confini temporali, ma di scorgere le continuità-discontinuità di narrazioni tra passato e presente. Ciò significa parlare di ‘italiani’ ante-litteram, non solo nel senso della formazione dell’Unità nazionale, ma anche di processi che, nati ben prima del 1861, furono ereditati e riutilizzati nella formazione dell’immaginario soggettivo e intersoggettivo. Inoltre, viene utilizzato il plurale – orientalismi italiani – proprio per indicare la multiforme presenza di soggetti che, con differenti progetti, narrarono in modi molteplici gli Orienti ad est, ma anche a sud, della penisola. Se nominare – cioè definire tramite il racconto, con la scrittura – significa descrivere, l’intento dei viaggiatori è di organizzare quanto scoperto secondo una gerarchia conosciuta, quella eurocentrica. In tal senso tutto, tanto gli usi e le abitudini legati alla ‘razza’ e al genere, quanto la ricostruzione del passato dei popoli orientali, serve ad imporre vincoli di soggezione, di dipendenza. Nulla viene lasciato al caso: non ci si dimentica di classificare l’invisibile sia nel senso del non-visibile in Europa (animali, piante, luoghi…), sia del non percepibile in Oriente. Le pagine, percorrendo questa seconda declinazione, si riempiono di mostri e di magia; si cercano spiegazioni sopranaturali di eventi climatici e ambientali non conosciuti in Europa. Dunque la conoscenza di nuovi territori e il relativo racconto non hanno solamente il compito di scoprire, ma anche di classificare, cioè di porre un ordine, di creare nuove categorie: passo imprescindibile per far attecchire progetti coloniali, economici, politici e religiosi. Sono benvenuti interventi che affrontano una o più delle seguenti tematiche: Relazioni fra biografia del viaggiatore, racconto e motivazioni politiche, religiose, economiche; ‘Razza’ e/o genere: la narrazione come forma di potere; Cibo e alimentazione; Memoria e passato: cercare le origini delle civiltà per proporre una gerarchia eurocentrica; La donna orientale; L’invisibile: mostri, spiritismo, incantesimi e magia, ma anche eventi sopranaturali. Gli abstract (massimo 300 battute + un breve cv)devono essere inviati entro e non oltre il 15 giugno 2011 all’indirizzo gabriele.proglio/at/unito.it. La comunicazione di accettazione dell'abstract è prevista per il 30 giugno, mentre la data ultima per l'invio dei saggi (di max 40 mila battute) è prevista per il 30 settembre. L'uscita del volume, presso la casa editrice Antares, è prevista per fine ottobre - metà novembre 2011.
Iscriviti a:
Post (Atom)